Le développement de l'Afrique passera pas l'autonomie culturelle qui englobe le cinéma. En effet le 7 -ème art contribue à valoriser l'évolution des territoires, montrer une meilleure image des grandes villes africaines qui se développent plus vite que les médias ne le montrent à l'international. En effet le cinéma est un média efficace pour lutter contre énormément de défis auxquels l'Afrique fait face. Les pays africains semblent l'avoir compris et travaillent pour rectifier leur retard dans ce domaine longtemps sous-estimé dans les sociétés africaines qui sont très conservatrices. En effet, devenir acteur est souvent mal vu dans la famille africaine, surtout lorsque nous sommes une femme. Avec la presse à scandale, l'avènement des réseaux sociaux, l'intimité des artistes est surexposée, leur donnant une mauvaise image. Une pression sociale qui freine souvent certaines personnes talentueuses, de percer dans le cinéma. Heureusement que les perceptions évoluent vis à vis de l'art, notamment grâce aux réseaux sociaux qui contribuent à une certaine exposition de la vie de tout le monde, normalisant finalement l'habitude et l'art d'être devant la caméra. Ce qui freine également le cinéma africain c'est l'économie car le manque de budget, de subventions ou de sponsors qui peuvent soutenir les projets cinématographiques à l'échelle nationale et internationale.
Les collectivités territoriales ou les associations spécialisées dans le domaine culturel doivent mettre en place des projets collaboratifs qui font la promotion du cinéma et le développement des talents dans ce secteur très diversifié qui ne s'arrête pas à l'acting et à la production, mais à la formation, l'écriture, la création de décor, l'habillement, des recherches scientifiques sur des thermes abordés dans le film, à la traduction pour conquérir d'autres marchés, etc. Nous allons parler dans cet article du cinéma togolais qui évolue bien et contribue au développement local. Il a marqué une étape importante avec la série Apparence qui a associé le Togo, le Sénégal et le Bénin. Un projet qui a eu un échos très favorable dans la diaspora africaine francophone.
Ce qui nous permet de mettre l'accent sur la diaspora, une niche de financeurs qui doit être parmi les priorités des maisons de production africaine et vice versa. La diaspora africaine devrait investir dans le secteur du cinéma comme il fait dans le secteur agricole, immobilier, vestimentaire, électronique, etc. Investir dans le cinéma c'est assurer le développement de tous les secteurs économiques. Pour aborder un sujet aussi riche que le cinéma en Afrique, nous sommes allés à la rencontre de Jean Marc Moraitis qui est un jeune acteur polyvalent. Ayant grandi dans une famille d'artistes, il a trouvé sa voie dans le cinéma. Acteur, voix off, Jean Marc a décidé de prendre en main sa carrière dans un secteur encore fragile en Afrique. Il s'est associé avec des collaborateurs pour créer une pépinière d'acteurs de cinéma appelée la Pépinière des Acteurs de Cinéma du Togo (PACT) . Une action gagnante pour celui qui a grandi dans le milieu artistique et pour lequel il a peu de secrets. Charismatique, entreprenant et discipliné, Jean Marques qui a su se diversifier nous permet d'avoir un aperçu de la portée du cinéma dans le développement de nos territoires. Vous êtes une entreprise qui souhaite faire une campagne publicitaire? Vous souhaiter apprendre les métiers de l'acting? Vous êtes à la recherche d'un acteur ou d'une voix off pour un projet? Faites appel à Jean Marc en cliquant sur les liens suivants :
- LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/marcus-moraitis-53a714181/;
- Facebook : https://www.facebook.com/marcus.moraitis ;
- Facebook PACT : https://www.facebook.com/assopact.tg/?locale=fr_FR .
Selon un article de EMC Magazine « Les principaux défis du cinéma en Afrique incluent le manque de financement, une infrastructure limitée, l’accès difficile aux marchés internationaux, la concurrence avec les films étrangers, des difficultés de distribution, des limitations en matière de promotion et de marketing, ainsi qu’un manque de formations et de talents spécialisés, le piratage et autres. Le secteur cinématographique en Afrique emploie environ 5 millions de personnes et contribue à hauteur de 5 millions d’euros au PIB du continent. Cependant, il fait face à des défis majeurs tels que le piratage, entraînant des pertes allant jusqu’à 50 % à 75 % des revenus audiovisuels. De plus, seulement 45 % des pays africains disposent d’une commission cinématographique et 55 % ont une politique cinématographique établie, ce qui souligne la nécessité d’un soutien et d’une régulation plus forte pour stimuler le secteur. »
Il devient urgent de nous intéresser à notre cinéma, nous l'approprier, le rendre plus professionnel et plus ouvert sur l'économie africaine. Et surtout il devient urgent de créer des projets culturels avec l'aide et l'expertise de la diaspora africaine.
Pouvez-vous vous présenter à nos lectrices et lecteurs s'il vous plaît ?
Je me nomme Jean-Marc MORAÏTIS et je suis d’origine Grecque. J’ai plusieurs cordes à mon arc, mais celle qui me passionne le plus, c’est le métier d’acteur.
Si vous deviez vous définir en 3 mots, que choisiriez-vous de nous dire et pourquoi ces qualités ?
Je dirai :
- passionné, parce que depuis que j’ai découvert l’univers du métier d’acteur, c’est comme si une partie de moi s’était enfin révélée. C’est une flamme que rien n’a su éteindre jusqu’à présent;
- déterminé, parce que malgré ma timidité, j’ai choisi de faire face à un monde exigeant, rempli de regards et de jugements. À chaque fois que je monte sur scène, c’est un pas de plus vers une meilleure version de moi;
- profond parce que je ne vois pas l’actorat comme un simple métier. Ce domaine m’a profondément transformé. Il m’a permis de mieux me connaître, de découvrir en moi des choses insoupçonnées comme par exemple la capacité à faire des voix off.
Pouvez-vous nous parler de votre parcours ?
Je me suis toujours demandé pour quoi j'étais fait. Cette question m'a longuement trotté dans la tête et, au fil du temps, les choses sont devenues progressivement plus claires. Après mon Bac, je me suis tourné vers la comptabilité, mais ne m’y sentant pas à ma place, j’ai préféré changer de discipline. J’ai donc opté pour le Marketing et j’ai obtenu une Licence en Management International. C’est en 2011, au Togo, que j’ai découvert pour la première fois l’univers du métier d’acteur. Un proche, Hervé TANDAM, m’a invité à un rendez-vous sans exactement m’expliquer de quoi il s’agissait. « C’est une surprise », disait-il. Lorsque je suis arrivé à l’endroit du rendez-vous, j’ai trouvé un groupe de jeunes acteurs en train de travailler sur des scènes improvisées. J’étais tout excité, et sans vraiment comprendre pourquoi, je savais que c'était pour moi. Je venais d’intégrer le groupe. Deux ou trois semaines après, nous avons reçu la visite de Steven AF, un Réalisateur togolais, qui est une référence dans le domaine du cinéma au Togo.
Il cherchait un acteur, et mon profil lui convenait. J’ai donc joué un rôle dans son film intitulé Shérifa. Ma toute première expérience a été impressionnante, dans le sens où je n'avais pas du tout imaginé que cela serait aussi intense. J'avais encore énormément de chemin à parcourir. En étant motivé et dans le feu de l’action, j’ai proposé à quelques amis avec qui nous partagions la même passion de créer un groupe d’acteurs. L’idée leur a plu, et nous nous sommes lancés. Nous avons donc créé la structure audiovisuelle « Ça Tourne Studio », qui est aujourd’hui devenue « PACT » (Pépinière des Acteurs du Cinéma au Togo). Au fil du temps, je me suis de plus en plus tourné vers la communication audiovisuelle, mettant mon jeu d’acteur et ma voix au service des entreprises désireuses de renforcer leur image de marque. Quelques films dans lesquelles j’ai joué :
- Ahoé (Web-série, une production de YoboStudios) – 2023;
- À l’Epreuve du Goumin (Long métrage réalisé par Israël Tounou) – 2023,
- Le Compromis (court métrage réalisé par Punchline Alchimie) – 2023;
- La Tourterelle (court métrage réalisé par BYLL A. Martine) – 2019;
- La Récolte (court métrage réalisé par BYLL A. Martine) – 2018;
J'ai également été voix off dans quelques réalisations :
Parlez nous de l'évolution du cinéma togolais ces dernières années.
Ces dernières années, le cinéma togolais avance à grands pas. L’État a mis en place des changements importants, comme la création du Centre National du Cinéma et de l’Image Animée (CNCIA), pour mieux organiser le secteur et le rendre plus pro. Un plan également a été lancé pour les années 2025 à 2029 afin de soutenir les films, former les acteurs et créer des opportunités.
Parlez nous du succès mais aussi de votre expérience globale sur le projet '' À l'épreuve du goumin''.
« À l’épreuve du goumin » a été une expérience intense et marquante. Pour la petite histoire, c’est par la force des choses que le rôle m’a été attribué. L’acteur qui devait interpréter Uriel le personnage était indisposé et il fallait absolument trouver un remplaçant. J’ai malgré tout accepté de travailler sur le projet, en dépit des difficultés qui se présentaient à moi. Le train était mis en marche et nous devrions débuter le tournage un jour et demi après. Le projet s’est merveilleusement bien déroulé et on doit son succès à toute l’équipe. Pour ma part j’ai beaucoup appris, ce projet m’a permis de pousser mon jeu dans des zones que je n’avais pas encore vraiment explorées. Le retour du public a été une belle récompense : on pouvait voir lors des projections les gens rire et se reconnaitre à travers le film.
Pensez vous qu'un acteur pourrait vivre de son art en Afrique de l'ouest ?
Oui c’est possible mais ce n’est pas encore évident. L’industrie du cinéma est en plein développement et petit à petit les structures de production s’améliorent et s’intéressent de plus en plus à nos contenus. Ces acteurs qui arrivent à vivre de leur art doivent souvent multiplier les casquettes : acteur, réalisateur, formateur ou même influenceur. Le potentiel est là, mais avec un bon encadrement, avec plus de formations et de financements, les acteurs pourraient vivre pleinement de leur art dans les années à venir.
Citez nous un ou quelques échecs et les leçons apprises par vous
Je parlerai de ma première expérience sur le plateau de tournage. C’était très éprouvant, parce que je n’étais pas vraiment outillé pour ce métier. J’ai donc beaucoup travaillé sur les points qui avaient besoin d’être améliorés. Parmi ces points, je citerai par exemple ma voix.
"Je m’exprimais très vite et parfois même, mes interlocuteurs avaient du mal à me suivre. Alors, j’ai dû apprendre à ralentir progressivement mon débit pour être plus clair, plus posé et mieux me faire comprendre. "
Je m’exprimais très vite et parfois même, mes interlocuteurs avaient du mal à me suivre. Alors, j’ai dû apprendre à ralentir progressivement mon débit pour être plus clair, plus posé et mieux me faire comprendre. Quand on veut gravir une montagne qui paraît immense et inaccessible, tant qu’on y croit et qu’on s’engage pleinement dans l’ascension, un jour, ce sommet qui semblait si loin, sera juste à portée de main.
Quels sont vos projets d'avenir?
Il y a pas mal de projets de tournage en préparation. Il est fort probable qu’il y ait très prochainement la suite de « À l’épreuve du goumin».
Si vous deviez remercier quelques personnes, qui sont elles et que représentent-elles pour vous ?
J’aimerai remercier :
- ma très chère Mère Martine BYLL, Réalisatrice, qui m’a toujours soutenu dans tout ce que j’entreprends;
- Herve TABAM qui est bien plus qu’un Scénariste, c’est un ami très proche. On travaille toujours ensemble aujourd’hui;
- tous ceux qui ont toujours cru en moi.
Quelles sont les 3 qualités d'un leader ?
Être leader, c’est une grande responsabilité, il doit :
- être source d’inspiration pour son entourage;
- savoir prendre des décisions dans l’intérêt du groupe;
- être capable de se sacrifier pour le bien des autres.
Que pouvez-vous conseiller aux jeunes générations pour atteindre leurs objectifs?
Quand on est jeune et que des rêves se profilent à l’horizon, on est souvent rempli de fougue et d’énergie. On se projette loin dans l’avenir et on a comme l’impression que c’est la voie à suivre. Les jeunes ont la faculté de discerner ce en quoi ils peuvent exceller. Mais malheureusement, rien n’est vraiment mis en place pour leur permettre de réaliser leurs rêves.
"Cherchez les personnes qui partagent vos rêves. Travaillez, car c’est en forgeant qu’on devient un forgeron aguerri. Et un beau jour, vous ne passerez plus inaperçu. Courage !"
Ils doivent donc lutter pour ne pas laisser leur flamme s’éteindre. Jeunesse, ne laissez personnes vous décourager. Cherchez les personnes qui partagent vos rêves. Travaillez, car c’est en forgeant qu’on devient un forgeron aguerri. Et un beau jour, vous ne passerez plus inaperçu. Courage !
Citez 3 bienfaits immédiats du cinéma pour l'Afrique ?
Le cinéma va de :
- permettre l’ouverture de nouvelles salles de Cinéma, créant des emplois;
- favoriser la consommation de nos produits locaux à travers des projections;
- contribuer à la croissance économique d’un pays.
Quelle est la citation parfaite qui résume votre vie?
« Celui qui déplace la montagne, c’est celui qui commence à enlever les petites pierres.» Proverbe africain
Quelques mots sur Arcare Concept notre blog
Je trouve votre blog fantastique, car il met en valeur nos différentes cultures, révèle ce que l’Afrique a à offrir au reste du monde et cela à travers nos talentueux artistes et leurs œuvres.
Si vous deviez recommander notre blog à 3 personnes qui incarnent le leadership autour de vous, qui sont-elles et quelles sont leurs activités ?
Je recommande :
- Sanvee Kokou BENO, surnommé "Allouwassio", il est une figure emblématique du théâtre et du cinéma togolais. Il a représenté son pays sur diverses scènes internationales;
- Benoît FUSS est un Artiste plasticien. Il est particulièrement connu pour ses sculptures monumentales qui ornent plusieurs espaces publics au Togo. Parmi ses œuvres les plus emblématiques figurent les Armoiries du Togo, le Monument des Deux Lions;
- Koffi Helmut BONIN est un Entrepreneur et Ingénieur en Génie Logiciel togolais, reconnu pour son engagement dans le développement du numérique au Togo.
Citez nous un ouvrage qui a contribué à votre développement personnel.
"Pouvoir illimité" de Tony Robbins
Citez nous un fait ou un personnage que vous trouvez remarquable dans l'histoire de votre pays ou de vos pays.
Je citerai Sanvee Kokou BENO, une figure emblématique des arts de la scène au Togo. Comédien, Conteur, Metteur en Scène et Formateur, il a consacré sa vie à la promotion de la culture togolaise, tant sur le plan national qu'international.
Soumaïla DIAKITE
Soumaila Diakité est le Fondateur de la start-up Arcare Concept. Il est spécialisé dans la création, le conseil et l'accompagnement des entrepreneurs, notamment dans leur communication et leur stratégie digitale. Il anime également des formations dans la communication digitale des institutions (Collectivités Publiques, Associations, Professions Liberales et Entrepises). Les tarifs sont indicatifs et s'adaptent aux réalités économiques des pays où sont situés nos collaborateurs (France, Mali, espace francophone).
Contacts : soumaila.diakite@gmail.com / Téléphone : 0033 6 65 57 09 87 / Région Hauts-de-France, France
Arcare Concept - Le Blog est un blog dédié à la promotion, la valorisation, la mise en lumière des accomplissements sur le plan individuel et collectif. Il s'agit d'une campagne stratégique (sur le court, moyen et long terme), une institution de guerre économique au service des talents, des leaders, des parcours singuliers, des projets et des entreprises qui concourent au rayonnement de l'espace francophone. Notre média souligne avec attention son intérêt pour la diversité, notamment les personnes issues de la communauté africaine qui osent faire bouger les lignes pour montrer une autre Afrique. Une Afrique qui se traduit par l'ambition, la créativité, l'humanité, la promotion de la culture de l'excellence, l'évolution (dans le bon sens) mais aussi le partage des valeurs traditionnelles et ancestrales (utiles) sans oublier la modernité. Grâce à ce blog nous avons interviewé des hommes et des femmes aux parcours fascinants.
"Les Africains d'origine et ceux de la diaspora doivent donc s'unir pour faire bloc, face à ce manque de présence (active) de leur part dans la sphère médiatique car ils sont peu ou pas représentés. Entre les deux perspectives nous avons une communauté mal représentée par les médias qui sont rarement bienveillants (dans un cas) ou peu compétents en la matière (dans d'autres cas) car ignorants face à nos réalités."
La communauté africaine a besoin de médias comme Arcare Concept - Le Blog qui facilite la promotion ainsi que la valorisation du parcours de ses invités, celle de leurs produits, services ou professions sans oublier que nos contenus favorisent le réseautage et la mise en relation entre les professionnels. Enfin ce qui fait la spécificité du média Arcare Concept - Le Blog c'est notre politique RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises cliquez sur Modibo Charity Concept, pour en savoir plus) qui consiste à promouvoir financièrement des porteurs de projet à travers la rédaction d'articles de ce genre pour les entreprises, les associations, les collectivités territoriales, les start-up, la société civile et les porteurs de projet. Avec notre rémunération nous finançons un porteur de projet (ou plusieurs). Le financement de ces projets se fait sur 2% de nos ressources financières par article écrit.
Avec plus de 200 articles à notre actif, la connaissance du terrain et les aspirations de la jeunesse, nous sommes arrivés à la conclusion, chez Arcare Concept - Le Blog, que l'Afrique n'est plus effrayée par le succès, avec ou sans les diplômes qui créent un décalage dévalorisant entre le monde francophone et la population active. Durant des années ce décalage emprisonne les potentiels, étouffe les perspectives, détruit des avenirs dans l'espace francophone et plus particulièrement dans l'Afrique francophone. Ce décalage qui consiste à croire que c'est le diplôme qui fait la réussite, détermine, souvent de façon réductrice, les aptitudes des hommes et des femmes qui les acquièrent. Pourtant le pourcentage de jeunes diplômés (et multidiplômés) ne cesse de s'accroître au sein de la communauté des chômeurs et des personnes sans perspectives d'avenir.
Lire aussi : Kalidou Sy un Journaliste Correspondant ambitieux
Tandis que les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leur compétence ainsi que leur portefeuille (d'adresses) arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique. Ceux qui frappent aux bonnes portes, au bon moment, qui bravent des obstacles inimaginables finissent par développer une grande empathie pour les autres.
"Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées."
Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.
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