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Législatives maliennes 2020 : à l'écoute des ambitions et des conseils de Soumaila Diakité, pour un Mali revanchard sur son histoire contemporaine.

www.arcareconcept.com

10 mars 2020

#No109

Initialement prévues en 2018, juste après l'élection présidentielle, les législatives ont été mises à mal par des agendas politico-stratégiques. Ce qui a abouti sur des conséquences comme le décalage entre l’exécutif et le législatif, deux pouvoirs qui représentent l'un pour l'autre des garde-fous contre leur débordement respectif, pour la sauvegarde ainsi que la garantie de la démocratie.

"En effet ce dernier revient d'une crise sociale, politique, économique, militaire voire inter-générationnelle et psychologique (à l’échelle de la nation) qui a implosé en 2012. Une crise dont les éclaboussures entachent encore nos actions et nos performances au-delà du temps et des frontières."

Si l’exécutif évoluait normalement jusque là, le pouvoir législatif s'est peu à peu transformé en pouvoir chétif pendant une période de 2 ans qui n'est pas négligeable dans l'histoire contemporaine d'un pays comme le Mali. En effet ce dernier revient d'une crise sociale, politique, économique, militaire voire inter-générationnelle et psychologique (à l’échelle de la nation) qui a implosé en 2012. Une crise dont les éclaboussures entachent encore nos actions et nos performances au-delà du temps et des frontières.

"Sur la voie de la raison et de la résolution, les législatives de 2020 battent leur plein, avec un halo d'espoir et d'initiatives en faveur de nos territoires qui sont en gestation de politiques inédites, dont celle de la décentralisation."

Se décalage institutionnel, les effets de la crise ainsi que la convalescence économique et sociale (pas si fructueuse comme nous l’espérions) constituent, au final, des épreuves énormes pour notre génération. Ces facteurs restent dérisoires dans l'histoire d'un pays, sur le long terme, à condition d'instaurer un changement efficace. Sur la voie de la raison et de la résolution, les législatives de 2020 battent leur plein, avec un halo d'espoir et d'initiatives en faveur de nos territoires en gestation de politiques inédites, dont celle de la décentralisation : ce projet d'envergure dont tous les acteurs attendent les retombées démocratiques susceptibles de garantir une représentativité efficace de leurs intérêts locaux, dans la continuité de l’intérêt général.

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Oui! Les Maliens attendent leur rendez-vous avec l'unité nationale mais aussi avec l'émergence d'une politique territoriale (et décentralisante), une politique de proximité, une politique efficace, une politique d’écoute, une politique sincère et concrète, participative, surtout une politique sur-mesure car au final les territoires demeurent des univers avec leurs réalités propres. L'une des manifestations de cette attente se caractérise par l'implication massive des jeunes : ainsi, les législatives 2020 sont implicitement placées sous le signe de la jeunesse active, car nous avons constaté une grande mobilisation de la jeunesse qui n'hésite pas à s'engager, à montrer la voie et prendre son destin en main. Ce qui constitue désormais une manière de réorganiser l’échiquier politique. Orientée vers un programme démocratique pour la quête d'un Mali revanchard sur ses échecs, mur face à ses erreurs, dynamique par essence, inclusif vis-à-vis de sa grande diversité, capable d'actions concrètes et force de proposition à l’échelle internationale, notre équipe a décidé de faire quelques propositions aux candidats qui nous liront.

"Oui! Les Maliens attendent leur rendez-vous avec l'unité nationale mais aussi avec l'émergence d'une politique territoriale (et décentralisante), une politique de proximité, une politique efficace, une politique d’écoute, une politique sincère et concrète, participative, surtout une politique sur-mesure car au final les territoires demeurent des univers avec leurs réalités propres."

Une équipe représentée par Soumaila DIAKITE qui est Titulaire d'une Maîtrise en Management des Entreprises Sanitaires & Sociales, puis d'une seconde Maîtrise en Administration Générale et Territoriale (IAE et Université de Limoges), ainsi qu'un Master en Management des Projets Numériques et Territoriaux (Université Toulouse II).

"Selon lui, les politiques ne trouveront pas meilleur laboratoire législatif que les collectivités territoriales (communes, cercles, districts, régions) pour mener à bien leur mission. "

Manager Territorial, il a travaillé au sein de la Direction Générale des Services (DGS) de la Mairie de Couzeix, plus précisément au service urbanisme, où il élabora le Plan Communal de Sauvegarde (PCS) qui a pour objectif de préserver les habitants de la commune en cas de survenance des catastrophes naturelles et/ou industrielles. Par la suite, il évolua au Centre Communal d'Action Sociale (CCAS) de la Ville de Limoges, au service qualité, qui a pour objectif d'améliorer les pratiques des professionnels et la valeur ajoutée des services rendus au citoyen usager (actions solidaires auprès des personnes isolées ou dans le besoin). Manager Sanitaire et Social, il a travaillé au sein et/ou avec des associations reconnues d'utilité publique comme le Secours Populaire Française ainsi que l'Association des Paralysés de France (APF).

Ayant contribué à fonder SOS Solo Santé Mali, une association qui a pour but de promouvoir la santé et le secteur médico-social au Mali, notamment, à travers la formation des professionnels de la santé, il a auparavant géré des projets de management au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Limoges. Egalement Fondateur d'Arcare Concept, une agence spécialisée dans la communication digitale et l'e-commerce, il se sert de son expérience transversale pour proposer aux futurs Députés, de miser les 5 prochaines années sur :

  • l'écoute des citoyens de leur territoire, car, aussi simple que soit cette proposition c'est de là que découle la bonne démarche pour élaborer des projets de loi ayant du sens. Selon lui, les politiques ne trouveront pas meilleur laboratoire législatif que les collectivités territoriales (communes, cercles, districts, régions) pour mener à bien leur mission.
  • du Benchmark politique et législatif auprès de leurs collègues de fonction (et assimilés), ainsi que leurs territoires respectifs d'intervention, car l'échange entre Députés (et autres représentants de l'Etat) libère des initiatives collaboratives intéressantes pour tous. Une perspective bénéfique pour tous, et surtout ensemble (de pratiques éthiques et démocratiques) favorable à tous, des représentants jusqu'au citoyen que nous sommes. 
  • du management politique dont l'objectif est de créer une véritable franchise territoriale. C'est à dire que les Députés doivent tous travailler sur des thématiques générales, obligatoires et urgentes pour le bien de tous les maliens. De cette franchise doit émerger des réflexions propres aux réalités de chaque collectivités : partir du générique qui est plus ou moins valable pour tous à la personnalisation nécessaire pour certain, dans une logique d'équilibre, de compétitivité, de développement mutuel et simultané des territoires. Une telle démarche permettra la fluidité des pratiques, la transparence des actions, une compréhension saine pour le citoyen afin de le préserver des aspects complexes et techniques de l'élaboration des lois voire de l'écosystème constitutionnel.
  • l'implication des citoyens dans le processus d'élaboration des lois. Dans un monde de plus en plus globalisé (notamment grâce à internet), la Politique comme toute autre discipline nécessite désormais la consultation de la masse. Les conseils citoyens, les débats publics ou toute autre forme de concertation doivent servir de tremplin stratégique dans la conception des lois. Même si l'organisation de ces concertations ne dépendent pas des Députés, ils peuvent influer sur leur organisation et en exploiter le contenu. Car les politiques gagneront toujours à écouter les requêtes du peuple, dans un cadre démocratique adéquat. 
  • la communication sur leurs actions ainsi que leurs différents travaux grâce aux différentes plateformes que sont les réseaux sociaux et les moyens de communication plus traditionnels (la télévision, la radio, la presse...). 
  • la mise en place d'un comité de rapporteurs territoriaux et inter-territoriaux. Ces derniers auront pour mission principale de faire remonter auprès du Député les réalités qui lui échappent, ces mêmes réalités que vivent les citoyens. Ce genre de comités sur un territoire (ou entre les territoires) sont efficaces pour dynamiser la mission législative de l'Assemblée Nationale dans la reconstruction socio-politique et économique du Mali pour les décennies à venir.  
  • Miser sur l'action collaborative, le rassemblement des connaissances et l'assemblage des moyens au lieu des pratiques cloisonnantes servant une politique déconnectée de la réalité, composée de paradoxes que personnes ne maîtrisent réellement. 
  • un appui sur la diaspora malienne, à travers la mise en place, de manière autonome ou collective, d'une plateforme de consultation concrète entre les Députés et certains membres compétents de la diaspora, sur des sujets législatifs et constitutionnels liés à la bonne gouvernance. Le peuple malien qui est reconnu comme l'un des plus mobiles (à travers de le monde), reste très attaché à ce qui se passe sur sa terre natale. Aussi reconnu comme un peuple studieux, la communauté malienne produit chaque année, rien qu'en France, plusieurs centaines de diplômés qui sont compétents sur la plupart des sujets contemporains qui intéressent le Mali : nous pouvons cité, l'informatique, les nouvelles technologies de l’information et de la communication, le management, le droit, la politique, l'enseignement, l'histoire, la géographie, la géologie, la santé, l'agriculture, l'environnement... toute connaissance susceptible d'améliorer la vie des maliens, à la condition que l'Etat (ou ses Représentants) crée les conditions (de collaboration et d'implication) nécessaires aux actions concrètes. Selon Etienne Giros, Président du Conseil Européen des Affaires pour l’Afrique et la Méditerranée (EBCAM), « Les flux financiers envoyés en Afrique par les diasporas représentent des montants en constante augmentation : 70 milliards d’euros par an, dont près de 10 milliards en provenance de la France ». S'il est connu que les diasporas contribuent financièrement au développement économique des pays d'attache, il revient aux élus locaux de nouer des partenariats de confiance avec ces dernières, dans l'objectif de capter leurs connaissances et les expertises en plus de leur fortune, pour l’intérêt général. 

Dans l'objectif d'encourager les élus à la moralisation de la vie politique, pour une pratique plus éthique, plus humaine et plus proche des citoyens, Soumaila DIAKITE a énoncé cette liste non exhaustive. Destinée aux futurs Députés, leurs conseillers, les citoyens et les membres de la diaspora, chacun d'entre nous a la capacité de se l’approprier pour atteindre ce potentiel caché en nous, avec nous et autour de nous!

Arcare Concept & vous!

Pionnière dans la communication digitale au près des entreprises, des associations et des collectivités locales, Arcare Concept (ou l'Agence Concept 4'part) a comme objectif de vous accompagner vers des solutions simples et efficaces en termes de relation publique : imaginer, concevoir, réaliser les stratégies digitales dans un contexte numérique et technologique qui évolue en permanence. Notre Agence a progressivement mis en place les différents packages face aux demandes diverses et récurrentes de notre communauté de collaborateurs professionnels. Avec l'Agence Concept 4'part, vous ne verrez plus la communication digitale de la même manière : pour chaque package choisi, vous contribuez financièrement à la promotion d'un entrepreneur ou d'un porteur de projet.

Soumaïla DIAKITE

Contact : soumaila.diakite@gmail.com

Téléphone : 06 65 57 09 87