No188

Notre équipe est animée par un intérêt particulier dans le cadre de notre interview avec Modibo Coulibaly Massaké, Porte Parole du Collectif des Étudiants Étrangers de France puis de Nanterre. Engagé et très sensible aux causes justes, notamment celles des étudiants étrangers et celle des immigrés de manière générale, il nous permet d'en savoir plus sur les conditions d'accès assez complexes des étrangers en France, même si ces derniers ont les aptitudes nécessaires pour s'intégrer. Car après notre interview avec lui, nous sommes arrivés à la conclusion que l'intégration est le réel problème de la société française qui peine à réussir sa politique d'immigration depuis le lendemain des indépendances africaines (les années 1960). L'échec de cette politique, selon notre observation, se caractérise par quelques éléments déclencheurs, à savoir :

• l'inexistence d'un dialogue cohérent entre les gouvernements français successifs et les générations d'immigrés, notamment ceux qui viennent d'Afrique subsaharienne,
• l'inexistence d'un dialogue porteur de sens entre les gouvernements des pays d'Afrique subsaharienne et les gouvernements français,
• le manque de politique d'intégration des immigrés dans les années 1960. Ces premiers venus qui se sont installés, qui ont fondé leur famille et ainsi de suite, ont fini par créer une communauté grandissante, dotée d'un pouvoir d'achat et d'un pouvoir politique peu structurés et donc négligés par les gouvernements français.
• la frustration légitime des générations d’immigrés les plus jeunes (les petits enfants ou les arrières petits enfants des premiers venus), qui ont été à l'école, qui sont instruits, qui entreprennent et qui souffrent toujours de ce problème d'acceptation par la société d'accueil qui demeure finalement l'unique qu'elles connaissent. Une souffrance sociale qui se traduit par un plafond de verre pour cette catégorie de la population française. Nous pouvons évoquer ce plafond de verre au niveau scolaire, la poursuite des études supérieures, l'accès aux logements de qualité, aux loisirs, etc.

Dans la logique de la mondialisation, nous assistons à l'accroissement des populations immigrés, avec un statut régulier ou clandestin, sur les territoires européens, surtout le territoire français. Ce qui entraîne progressivement des crispations des politiques en termes d'accueil des immigrés qui finissent par devenir des citoyens naturalisés et/ou nés sur le territoire français. Toutefois, il semble avoir la superposition et un épaississement progressif des obstacles à l'intégration et l'épanouissement des immigrés. Les nouvelles lois sur les frais universitaires des étudiants étrangers et celles qui sont liées à l'immigration en sont les preuves. Nous vous laissons en savoir plus sur ces lois et leurs conséquences à travers notre échange avec Modibo.

Pour contacter Modibo, suivez le sur son réseau social :

• Instagram : https://www.instagram.com/modibo_mk/?hl=fr

Pouvez-vous vous présenter à nos lectrices et lecteurs s'il vous plaît ?

Je m’appelle Modibo Coulibaly Massaké, j’ai 28ans, je suis malien, je suis en France depuis 2013. J’ai une licence en science politique et un master en science de l’éducation. Je suis passionné de littérature, d’histoire et j’aime la politique. Je suis engagé dans le milieu associatif pour défendre les droits des étrangers en France.

Si vous deviez vous définir en 3 mots, que choisiriez-vous de nous dire et pourquoi ces qualités ?

Je cite :

• la solidarité,
• le partage et,
• l’éducation.

Ce sont les trois mots qui me viennent à l’esprit car j’ai envie de propager ces valeurs et de les incarner comme qualités.

Pouvez-vous nous parler de votre parcours ?

J’ai fait une grande partie de ma formation intellectuelle au Mali, de l’école primaire jusqu’au Bac. Mon parcours scolaire/académique a été très riche à travers les différentes structures/ écoles que j’ai fréquentées. Ensuite, j’ai étudié à l’université de Paris Nanterre, en France. Mon parcours associatif et professionnel, a été très dynamique, j’ai fréquenté beaucoup d’associations et des personnes formidables, comme Tania, Présidente d’une association qui lutte contre les inégalités scolaires, ou comme Lama, ma Tutrice de stage en master qui m’a beaucoup soutenu dans les périodes difficiles. J’ai milité dans plusieurs collectifs/ associations, généralement autour des questions de justice sociale, afin de lutter contre les inégalités, les discriminations et le racisme.

Parlez nous de la loi récente sur l'immigration et ses répercussions sur ceux qui ont choisi d'immigrer en France ?

Le nouveau projet de loi sur l’Asile et l’Immigration qui a été présenté par le gouvernement à l’Assemblée Nationale le 6 décembre 2022, se résume en trois volets :

• le volet juridique relatif au droit de l’asile,
• le volet administratif relatif au renouvellement de titre de séjour,
• le volet intégration par le biais de la langue et du travail.

Concrètement le gouvernement a annoncé certaines mesures comme la création d’une nouvelle catégorie de titre de séjour pour les métiers sous tension qui sera valable un an, pour pouvoir en bénéficier il faut justifier de 3 ans sur le territoire, avec un contrat de travail de plus de 8 mois. Sur le volet droit de l’asile le gouvernement prévoit une implication des démarches, faisant passer de 12 à 4 les possibilités de recours des étrangers dans le cadre de leur procédure judiciaire. Sur le volet intégration, le gouvernement veut conditionner le renouvellement de titre de séjour et l’attribution des visas, à la réussite d’un examen de langue.

Pourquoi la cause de l'immigration vous tient à cœur ?

La cause de l’immigration me tient particulièrement à cœur car je suis directement concerné par le sujet. Étant étranger avec le statut d’étudiant, j’ai vécu de très nombreuses démarches administratives et j’ai compris que la finalité de ces procédures, était de surveiller et de punir les étrangers. Il y a énormément de barrières et des contraintes dans la vie des étrangers en France.

"La cause de l’immigration me tient particulièrement à cœur car je suis directement concerné par le sujet. Étant étranger avec le statut d’étudiant, j’ai vécu de très nombreuses démarches administratives et j’ai compris que la finalité de ces procédures, était de surveiller et de punir les étrangers. Il y a énormément de barrières et des contraintes dans la vie des étrangers en France. Mes études en sciences politiques et mes expériences associatives m’ont permis de comprendre, les politiques éducatives et migratoires, de m’interroger sur les causes génératrices des inégalités sociales et économiques. Ma formation universitaire et mes lectures ont aussi nourrit mes réflexions et je me sentais légitime de parler pour mobiliser les autres. J’ai toujours cherché à créer des espaces de discussion et de débat, car je voulais que les étrangers s’organisent pour défendre leurs droits."

Mes études en sciences politiques et mes expériences associatives m’ont permis de comprendre, les politiques éducatives et migratoires, de m’interroger sur les causes génératrices des inégalités sociales et économiques. Ma formation universitaire et mes lectures ont aussi nourrit mes réflexions et je me sentais légitime de parler pour mobiliser les autres. J’ai toujours cherché à créer des espaces de discussion et de débat, car je voulais que les étrangers s’organisent pour défendre leurs droits.

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Selon vous quels sont les meilleurs leviers pour faire avancer les conditions de l'immigration en France ?

En France, il y a beaucoup de politiques d’immigration et peu de politique d’intégration. La différence est que la politique d’immigration concerne les conditions d’entrée et de séjour des étrangers. Tandis que la politique d’intégration concerne les conditions de vie, de travail et de participation à la vie commune. Par exemple dans son nouveau projet, le gouvernement évoque l’intégration par le travail et la langue. Mais à mon avis, cela n’est pas la meilleure approche. Parler la langue et avoir un travail ce n’est pas l’aboutissement de l’intégration mais son point de départ. L’un des meilleurs leviers pour améliorer les conditions de l’immigration est de planifier une véritable politique d’intégration. Dans un premier temps, il est nécessaire de stabiliser la situation de ceux qui ont déjà un titre de séjour.

"En France, il y a plus de 20 statuts différents pour les étrangers. C’est absurde, le statut ou la catégorie de titre de séjour, ne détermine pas la réalité. Une personne qui a un titre de séjour étudiant peut très bien travailler, et une personne qui a un titre de séjour salarié peut aussi étudier. La multiplication des statuts pénalise aussi bien l'État et les étrangers. Pour l’État c’est beaucoup de dossiers à gérer et pour les étrangers c’est être confronter à trop de barrières et de contraintes administratives. Les procédures sont compliquées, angoissantes et retardent l’intégration. Une véritable politique d’intégration passe nécessairement d’abord par l’attribution de titre de séjour durable et stable. Ensuite, elle s’accompagne par des activités socioculturelles, avec des opportunités professionnelles qui ne se limitent pas aux emplois précaires. Pour moi, ce sont des leviers importants à mobiliser en toute urgence."

En France, il y a plus de 20 statuts différents pour les étrangers. C’est absurde, le statut ou la catégorie de titre de séjour, ne détermine pas la réalité. Une personne qui a un titre de séjour étudiant peut très bien travailler, et une personne qui a un titre de séjour salarié peut aussi étudier. La multiplication des statuts pénalise aussi bien l'État et les étrangers. Pour l’État c’est beaucoup de dossiers à gérer et pour les étrangers c’est être confronter à trop de barrières et de contraintes administratives. Les procédures sont compliquées, angoissantes et retardent l’intégration. Une véritable politique d’intégration passe nécessairement d’abord par l’attribution de titre de séjour durable et stable. Ensuite, elle s’accompagne par des activités socioculturelles, avec des opportunités professionnelles qui ne se limitent pas aux emplois précaires. Pour moi, ce sont des leviers importants à mobiliser en toute urgence.

Citez nous un ou quelques échecs et les leçons apprises par vous ?

Je cite :

• la crise sanitaire, l'épuisement physique et mental,
• les études.

Pendant la crise sanitaire j’ai fait un burn out, c’était très compliqué dans ma vie personnelle, professionnelle et associative. J’étais épuisé mentalement et physiquement. Au niveau des études je n’avançais pas et je n’arrivais pas à me concentrer pour rédiger mon mémoire de fin d’étude. Pour m’en sortir j’ai quitté Paris, j’ai déménagé à coté de Lyon, j’ai fait une pause avec le milieu associatif. J’ai pris du temps pour moi, j’ai énormément lu et j’ai fait de nouvelles rencontres.

Quels sont vos projets d'avenir?

Je veux :

• changer de statut,
• travailler dans le domaine associatif ou socioculturel,
• développer mon projet de librairie,
• créer un réseau de solidarité pour les migrants à Mâcon.

Si vous deviez remercier quelques personnes, qui sont-elles et que représentent-elles pour vous ?

Je remerice :

• ma Mère, ma source de motivation,
• ma Sœur, également un appui inestimable,
• Tania et Lama, déjà citées,
• mes amis.

Quelles sont les 3 qualités d'un leader ?

Chaque personne étant différente, il n’y a pas de qualités précises à obtenir pour être leader. Souvent c’est une question d’aventure humaine, de circonstance, de vécu et de projet. Certains leaders ont des qualités et d’autres n’en ont pas. Pour ma part, je pense qu’il faut se battre pour la justice globale et pour une meilleure condition de vie, pour soi, pour ses proches, pour son pays, pour son continent et pour nos sœurs et frères en humanité.

Que pouvez-vous conseiller aux jeunes générations pour atteindre leurs objectifs ?

Le meilleur conseil c’est l’exemplarité.

Citez 3 bienfaits immédiats de l'entrepreneuriat pour l'Afrique ?

Pour moi l'entrepreneuriat :

• incite à se débrouiller,
• rime avec autonomie et beaucoup de travail,
• permet de relever des défis et d’apporter des solutions innovantes.

Quelle est la citation parfaite qui résume votre vie ?

Pour l’instant je n’ai pas découvert la citation qui résume ma vie. Mais j’aime la réflexion de Mandela, en disant que l’Éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde.

Quelques mots sur Arcare Concept 

J’ai regardé sur le site les articles et les vêtements que je trouve super beaux. J’aime bien le concept de valoriser les tissus africains et les différentes créations. Je vais recommander vos vêtements aux amis de mon entourage.

Si vous deviez recommander notre blog à 3 personnes qui incarnent le leadership autour de vous, qui sont-elles et quelles sont leurs activités ?

Je recommande :

• Mahamadou Cissé, Président du CNJ MALI France,
• Brehima Sidibé ou Falassa Sidibé, tous les deux engagés dans le milieu associatif,
• Aissata Sissoko, Auteur, passionné de littérature.

Soumaïla DIAKITE

Soumaila Diakité est le Fondateur de la start-up Arcare Concept. Il est spécialisé dans la création, le conseil et l'accompagnement des entrepreneurs, notamment dans leur communication et leur stratégie digitale. Il anime également des formations dans la communication digitale des institutions (Collectivités Publiques, Associations, Professions Liberales et Entrepises). Les tarifs sont indicatifs et s'adaptent aux réalités économiques des pays où sont situés nos collaborateurs (France, Mali, espace francophone).

Contacts : soumaila.diakite@gmail.com / Téléphone : 0033 6 65 57 09 87 / Région Hauts-de-France, France

Arcare Concept - Le Blog est un blog dédié à la promotion, la valorisation, la mise en lumière des accomplissements sur le plan individuel et collectif. Il s'agit d'une campagne stratégique (sur le court, moyen et long germe), une institution de guerre économique au service des talents, des leaders, des parcours singuliers, des projets et des entreprises qui concourent au rayonnement de l'espace francophone. Notre média souligne avec attention son intérêt pour la diversité, notamment les personnes issues de la communauté africaine qui osent faire bouger les lignes pour montrer une autre Afrique. Une Afrique qui se traduit par l'ambition, la créativité, l'humanité, la promotion de la culture de l'excellence, l'évolution (dans le bon sens) mais aussi le partage des valeurs traditionnelles et ancestrales (utiles) sans oublier la modernité.

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Tandis que les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leurs compétences ainsi que leur portefeuille d'adresses arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique. Ceux qui frappent aux bonnes portes, au bon moment, qui bravent des obstacles inimaginables finissent par développer une grande empathie pour les autres. Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour pouvoir espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.

" Les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leurs compétences ainsi que leur portefeuille d'adresses arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique."

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Grâce à ce blog nous avons interviewé des hommes et des femmes aux parcours fascinants. Des exemples de réussite sur nos territoires, parmi la diaspora africaine à travers le monde et dans de nombreux domaines (beauté, cinéma, musique, santé, beauté, communication...). La puissance des médias est humainement, socialement, économiquement illimitée dans un contexte d'avènement des technologies de l'information et de la communication. Les Africains d'origine et ceux de la diaspora doivent donc s'unir pour faire bloc, à ce manque de présence (active) de leur part dans la sphère médiatique car ils sont peu ou pas représentés. Entre les deux perspectives nous avons une communauté mal représentée par les médias qui sont rarement bienveillants (dans un cas) ou peu compétents en la matière (dans d'autres cas) car ignorants face à nos réalités.

"Les Africains d'origine et ceux de la diaspora doivent donc s'unir pour faire bloc, face à ce manque de présence (active) de leur part dans la sphère médiatique car ils sont peu ou pas représentés. Entre les deux perspectives nous avons une communauté mal représentée par les médias qui sont rarement bienveillants (dans un cas) ou peu compétents en la matière (dans d'autres cas) car ignorants face à nos réalités."

La communauté africaine a besoin de médias comme Arcare Concept - Le Blog qui facilite la promotion ainsi que la valorisation du parcours de ses invités, celle de leurs produits, services ou professions sans oublier que nos contenus favorisent le réseautage et la mise en relation entre les professionnels. Enfin ce qui fait la spécificité du média Arcare Concept - Le Blog c'est notre politique RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises cliquez sur Modibo Charity Concept, pour en savoir plus) qui consiste à promouvoir financièrement des porteurs de projet à travers la rédaction d'articles de ce genre pour les entreprises, les associations, les collectivités territoriales, les start-up, la société civile et les porteurs de projet. Avec notre rémunération nous finançons un porteur de projet (ou plusieurs).

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Le financement de ces projets se fait sur 2% de nos ressources financières par article écrit. Avec plus de 170 articles à notre actif, la connaissance du terrain et les aspirations de la jeunesse, nous sommes arrivés à la conclusion, chez Arcare Concept - Le Blog, que l'Afrique n'est plus effrayée par le succès, avec ou sans les diplômes qui créent un décalage dévalorisant entre le monde francophone et la population active. Durant des années ce décalage emprisonne les potentiels, étouffe les perspectives, détruit des avenirs dans l'espace francophone et plus particulièrement dans l'Afrique francophone. Ce décalage qui consiste à croire que c'est le diplôme qui fait la réussite, détermine, souvent de façon réductrice, les aptitudes des hommes et des femmes qui les acquièrent.

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Pourtant le pourcentage de jeunes diplômés (et multidiplômés) ne cesse de s'accroître au sein de la communauté des chômeurs et des personnes sans perspectives d'avenir. Tandis que les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leur compétence ainsi que leur portefeuille (d'adresses) arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique. Ceux qui frappent aux bonnes portes, au bon moment, qui bravent des obstacles inimaginables finissent par développer une grande empathie pour les autres.

"Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.

Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.

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• Rédaction de CV professionnel à partir de 70€
• Rédaction d'article professionnel à partir de 80€
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• Rédaction de storytelling à partir de 250€
• Rédaction de dossier presse à partir de 300€
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